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Dans le cadre de ses missions de sensibilisation et de formation, l’Agence française anticorruption enrichit sa série de podcasts Cap Intégrité avec trois nouveaux épisodes. Destinés aux acteurs économiques comme aux professionnels  de la conformité ou encore aux étudiants dans ce domaine, ces podcasts visent à apporter un éclairage concret et accessible sur les enjeux de prévention de la corruption. À travers le regard de ses experts, l’AFA partage les bonnes pratiques, retours d’expérience et clés de compréhension pour accompagner les entreprises dans la mise en œuvre de leurs dispositifs anticorruption.

Le Service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI) publie avec l'Observatoire des atteintes à la probité de l’Agence française anticorruption, une actualisation de l’étude consacrée aux atteintes à la probité enregistrées par les services de police et de gendarmerie nationales.

Le 3 septembre 2025, le tribunal judiciaire de Paris a homologué une Convention judiciaire d'intérêt public (CJIP) conclue entre le Parquet national financier et la société SURYS.  La décision prévoit la mise en place au sein de SURYS d'un programme de mise en conformité sous le contrôle de l'AFA. 

Pour la première fois, l’AFA et l’AMF publient ensemble un appel à la vigilance, soulignant l’importance croissante de leur coopération pour faire face à l’émergence de réseaux d’initiés liés à la criminalité organisée. Ces réseaux tentent de corrompre des personnes disposant d’informations privilégiées afin de réaliser des opérations illégales sur les marchés financiers, menaçant ainsi l’intégrité du système financier et la confiance des opérateurs économiques. Il est ainsi recommandé aux entreprises, notamment celles soumises à la loi Sapin II, de veiller à ce que leur dispositif anticorruption leur permette de prévenir et détecter de telles pratiques.

Le déploiement efficace d’un dispositif visant pour les entreprises à évaluer, au regard des risques d’atteintes à la probité, les acteurs extérieurs, qualifiés de « tiers », avec qui elles interagissent, peut soulever interrogations et difficultés au sein des entreprises. Consciente de cela, l’AFA propose et soumet à consultation une série de fiches pratiques sur le dispositif d’évaluation des tiers (clients, fournisseurs, intermédiaires, etc…) pour les accompagner de la façon la plus efficace dans cette démarche.

Pour l’Agence française anticorruption, l’année 2024 a été marquée par un nouvel élan, une adaptation aux défis liés à l’évolution de la corruption et par l’approfondissement de ses missions de prévention. 

Ainsi la réorganisation interne de l’Agence, entrée en vigueur au 1er décembre, traduit la volonté de tirer les leçons opérationnelles et institutionnelles de près de 8 années d’exercice. Elle vise à mieux répondre aux enjeux et défis auxquels sont confrontés tant les acteurs publics que les acteurs économiques en matière d’atteinte à la probité. S’agissant de l’évolution du phénomène corruptif, l’AFA a notamment développé son analyse et initié des travaux relatifs à l’impact de la criminalité organisée et du narcotrafic afin d’aider les administrations à mieux se protéger. Elle a de même développé un travail de prévention et d’accompagnement en direction des collectivités territoriales et en particulier, du bloc communal. Par ailleurs, la création de l’Observatoire des atteintes à la probité permet de disposer de données plus objectives pour mieux cerner la réalité des atteintes à la corruption. Enfin, l’AFA, autorité externe de recueil des signalements, connait une augmentation significative du nombre d’alertes reçues. Le rapport 2024 offre une présentation spécifique sur cette tendance qui s’affirme depuis l’entrée de la loi du 21 mars 2022 relative au renforcement de la protection des lanceurs d’alerte (loi Waserman).